Ça existe une maman parfaite ? Oui, mais seulement dans l’esprit des mamans en devenir où des femmes qui n’ont pas d’enfants.
J’ai toujours voulu être ce qu’on appelle une « maman parfaite », une « super maman ». Jusqu’à ce que je devienne moi-même maman. Cela ne veut évidemment pas dire que je ne veuille plus l’être, mais plutôt que la réalité m’a rattrapée m’obligeant à renoncer à la perfection.
Les non-mamans et les mamans en devenir, savent toujours ce qu’elles feraient mieux que les autres. Elles savent tout sur la THÉORIE de « l’être maman », mais rien sur la PRATIQUE.
Non-maman j’étais persuadée que cela devait être possible de ne jamais « gronder » mes enfants, de ne jamais avoir à élever la voix sur eux, d’être toujours douce et gentille, mais la dure réalité me donne des claques régulièrement.
Certains jours, j’ai l’impression d’être une machine à plaintes. Je hurle, je gronde et je me sens tellement mal dans ma peau, j’ai tellement honte de moi, de mon « imperfection ». Je dois me rendre à l’évidence que je ne serai jamais une « maman parfaite », une « super maman » aux yeux des « messieurs-mesdames-je- sais-tout », mais une chose est sûre, je serai toujours une maman qui fait tout pour le bien des ses enfants. Et je suis tellement heureuse de recevoir des échos positifs de personnes qui aimeraient que leurs enfants ressemblent aux nôtres sur certains points. Cela fait du bien à l’ego, même si je ne peux m’empêcher de penser : « si vous saviez ! »
J’ai toujours voulu être ce qu’on appelle une « maman parfaite », une « super maman ». Jusqu’à ce que je devienne moi-même maman. Cela ne veut évidemment pas dire que je ne veuille plus l’être, mais plutôt que la réalité m’a rattrapée m’obligeant à renoncer à la perfection.
Les non-mamans et les mamans en devenir, savent toujours ce qu’elles feraient mieux que les autres. Elles savent tout sur la THÉORIE de « l’être maman », mais rien sur la PRATIQUE.
Non-maman j’étais persuadée que cela devait être possible de ne jamais « gronder » mes enfants, de ne jamais avoir à élever la voix sur eux, d’être toujours douce et gentille, mais la dure réalité me donne des claques régulièrement.
Certains jours, j’ai l’impression d’être une machine à plaintes. Je hurle, je gronde et je me sens tellement mal dans ma peau, j’ai tellement honte de moi, de mon « imperfection ». Je dois me rendre à l’évidence que je ne serai jamais une « maman parfaite », une « super maman » aux yeux des « messieurs-mesdames-je- sais-tout », mais une chose est sûre, je serai toujours une maman qui fait tout pour le bien des ses enfants. Et je suis tellement heureuse de recevoir des échos positifs de personnes qui aimeraient que leurs enfants ressemblent aux nôtres sur certains points. Cela fait du bien à l’ego, même si je ne peux m’empêcher de penser : « si vous saviez ! »